• Un service de médecine post-urgence de 10 lits

Afin de désengorger les urgences de la Clinique et d’améliorer les conditions d’accueil et de prise en charge des patients, la création de ce service de médecine post-urgence a été réfléchie conjointement avec la SMUCA (regroupement de médecins urgentistes Hauts-de-France), le Dr Andregnette, coordinateur des urgences de la Clinique, et la direction de l’établissement.

Ces 10 lits post-urgences et leur proximité avec le service des urgences de la Clinique vont permettre d’accueillir des patients actuellement pris en charge par les urgences et nécessitant une hospitalisation de courte durée (ne dépassant pas 72h) afin de leur prodiguer des soins adaptés, de réaliser des examens médicaux complets et/ou de leur offrir une surveillance médicale et paramédicale. Un médecin a été recruté pour superviser ce service.

• Une unité de soins palliatifs de 10 lits

Refaite à neuf sous la supervision du Docteur Hanké, l’unité de soins palliatifs a repris son activité le 16 janvier 2024 avec 10 lits. Cette unité de soins palliatifs a pour objectif d’améliorer la qualité de vie des patients atteints de maladies graves, en mettant l’accent sur le confort, la dignité et le respect des choix des patients en matière de soins de fin de vie.

• Un service de Soins Médicaux et de Réadaptation (SMR) de 50 lits

En 2023, la Clinique Anne d’Artois a entamé des travaux d’ampleur afin de pouvoir accueillir son service de Soins Médicaux et de Réadaptation (SMR). La totalité des chambres, soit 50 lits, est désormais opérationnelle, avec 2 nouveaux médecins recrutés pour superviser le service.

Ce nouveau service SMR polyvalent et gériatrique accueille à la fois des patients atteints de polypathologies médico-chirurgicales en vue d’un suivi thérapeutique et d’une rééducation, mais aussi des patients âgés fragilisés ou dépendants sortant d’un service de spécialités ou d’une unité de court séjour gériatrique. La prise en charge dans le service se fait dans le cadre d’une approche globale, psycho-sociale, non centrée uniquement sur la pathologie mais tenant compte de l’ensemble des éléments susceptibles d’intervenir dans la genèse de la dépendance et pouvant être prévenus.